Les Sudafricains

Les Suda­fri­cains sont appe­lés ainsi pour que nous ne les confon­dions pas avec les Nora­fri­cains qui ont non seule­ment le type nora­fri­cain, mais la gon­zesse aussi.

La Suda­fri­quie, qui s’étend sans ver­gogne sur plus d’un mil­lion de kilo­mètres car­rés au bout de l’Afrique, non, là, en bas, est peu­plée de vingt-quatre mil­lions d’habitants qui sont pour la plu­part extrê­me­ment vul­gaires, sauf les Blancs.

Cette popu­la­tion se décom­pose de la façon sui­vante: 70 % de Ban­tous, 17 % d’Européens, 9 % de métis 1, 2 d’Asiatiques et 14 % sans opi­nion. C’est énorme.

En Suda­fri­quie, tous les Euro­péens pra­tiquent la ségré­ga­tion, à part Ted.

La ségré­ga­tion consiste, de la part des Blancs, à res­pec­ter la spé­ci­fi­cité des Nègres en n’allant pas bouf­fer chez eux. Au reste, la cui­sine ban­toue est tout à fait exé­crable tant sur le plan de l’hygiène ali­men­taire dont les Blancs sont très friands, que sur le plan du décor de la table qui laisse à dési­rer, c’est le moins qu’on puisse dire. Par exemple, ces gens-là mettent la four­chette à droite et le cou­teau à gauche. Merci bien!

Il me revient d’avoir été convié à la table d’un auto­no­miste ban­tou, avec lequel mon épouse était très liée mal­gré la tra­di­tion ségré­ga­tion­niste, pour des rai­sons sexuelles inhé­rentes à l’énormité de la bite de ce sau­vage. Eh bien, c’était très mau­vais, notam­ment la biche aux abois melba, qui consti­tue le plat natio­nal bantou.

La télé­vi­sion suda­fri­caine est l’une des meilleures du monde. Non seule­ment il n’y a jamais d’émissions avec Gis­card, mais il n’y en a pas non plus avec Mitterrand.

Les villes les plus connues de la Suda­fri­quie sont Johan­nes­burg, Le Cap, Pre­to­ria et Dur­ban. Les villes les moins connues sont Pot­chef­stroom, Vere­ni­ging, Wit­bank et Thabazimbi.

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