Anniversaires du 11 juin

Jalou­sie
C’est le 11 juin 1147 que Louis VII parti pour la deuxième croi­sade. Alié­nor refu­sant de se mor­fondre au palaiss, décida d’accompagner le roi de France. Les chro­ni­queurs de l’époque lui attri­buèrent d’ailleurs de nom­breuses infi­dé­li­tés durant le voyage, dont une avec son oncle (à elle) à Antioche. Mais rap­pe­lons que la pire des tra­hi­sons fut quand même sa sépa­ra­tion d’avec le  roi de France pour épou­ser le roi d’Angleterre.

Enfant très pré­coce, il com­posa son pre­mier schla­ger vers l’âge de 6 ans.

Der große Bite von Dudule
C’est le 11 juin 1864 que naquit Richard Strauss com­po­si­teur Alle­mand pré­coce qui aborda presque tous les styles de musique y com­pris  le schla­ger et autres chan­sons paillardes, que ses hagio­graphes pré­fèrent pas­ser sous silence.

Le monde du silence
Il y a exac­te­ment 102 ans que naquit le Com­man­dant Cous­teau dans une famille rela­ti­ve­ment dif­fi­cile. En effet, exas­pé­rée par ses babillages inces­sants, sa mère avait cou­tume de lui plon­ger la tête sous l’eau pour avoir un peu de silence.

Au moins, sur la terre ferme il ne se serait jamais fait torpiller.

Prince de Bre­tagne
C’est le 11 juin 1931, que fut lancé le paque­bot Empress of Bri­tain mais du mau­vais côté (voir photo) repor­tant le pre­mier voyage en avril 1932.

Res­capé
Le 11 juin 1955, eut  lieu le plus tra­gique acci­dent de la course auto­mo­bile aux 24 heures du Mans où 80 per­sonnes trou­vèrent la mort. Les parents de Jean Alési ne font pas par­tie des vic­times puisqu’il naquit exac­te­ment 9 ans plus tard.

Le sol­dat connu mal­gré lui
Jules-André Peu­geot  qui naquit le 11 juin 1893 aurait cer­tai­ne­ment sou­haité res­ter com­plè­te­ment inconnu et ne pas être le pre­mier sol­dat fran­çais  tué lors de la pre­mière guerre mon­diale. On rap­porte d’ailleurs que ses der­nières paroles furent : Oh du calme, pous­sez pas derrière !

Boxe Chi­noise
Si l’on peut célé­brer aujourd’hui les mar­tyrs de Chine, mas­sa­crés vers 1900 c’est sim­ple­ment parce qu’en l’absence de juifs en Chine, les catho­liques étaient les seuls boucs émis­saires que l’impératrice avait sous la main.

Ecrire un commentaire

Votre courriel ne sera jamais publié ou partagé. Les champ obligatoires sont marqués *

*
*