Anniversaires du 6 novembre

«Schick, ça vibre !»

Coupe Schick
Le 6 novembre 1923, Jacob Schick obtient le pre­mier bre­vet pour un rasoir élec­trique. Le pre­mier modèle est doté d’un moteur externe qui font dou­ter les indus­triels qui trouvent l’objet peu pra­tique pour le rasage en rai­son des vibra­tions impor­tantes du moteur. Mme Schick n’est pas d’accord, aidée par ses amies, elle exige que ce soit plu­tôt la par­tie com­pre­nant le rasoir qui soit supprimée.

Babou­vistes du V ème
C’est le 6 novembre 1795 que fut fondé le Club du Pan­théon, club petit-bourgeois dont fit par­tie Babeuf le fon­da­teur du Babou­visme. Il pré­fi­gu­rait assez bien ce que serait l’extrême-gauche française.

On ne le répè­tera jamais assez
Comme nous l’avons déjà dit c’est le 6 novembre 1917 dans notre calen­drier qu’a démarré la Révo­lu­tion d’Octobre.

Pris le nez dans la poudre
Il y a exac­te­ment 406 ans, Guy Fawkes était sur­pris en tain d’essayer de mettre le feu aux poudres dis­po­sées en masse sous le Palais de West­mins­ter (le Roi l’apprenant s’écria Fawkes ! You ! ). L’objectif était d’éliminer la famille la famille royale d’Angleterre au com­plet, soit-disant pour lut­ter  contre l’intolérance du roi Jacques Ier Stuart à l’égard des jésuites et des puri­tains, ce qui est une excuse comme une autre, car éli­mi­ner le roi des per­fides Anglais ne néces­site aucune excuse. C’est un acte de civisme en somme. Quoi qu’il en soit, les cou­pables de cette Conspi­ra­tion des poudres, furent arrê­tés pen­dus ou écar­te­lés, mon­trant ainsi le vrai visage de ce peuple qui se targue de raffinement.

Brin­disi !
Le 6 novembre 1861, la Bel­gique recon­naît le Royaume d’Italie. Coïn­ci­dence heu­reuse, Léo­pold Ier roi des Belges, gai comme un ita­lien, apprend la nou­velle alors qu’il est sur le point de ter­mi­ner une bou­teille de Grappa qu’il avait ramené de ses pré­cé­dentes vacances. Il a juste le temps de s’exclamer L’Italie ! Ça s’arrose ! avant de s’effondrer ivre-mort.

Une jeune demoi­selle avec un gros sou­sa­phone en bouche.

Un très gros sax
Le 6 novembre 1854 nais­sait John-Phillipe Sousa, com­po­si­teur de marches mili­taires et inven­teur du sou­sa­phone, un très gros ins­tru­ment, bien plus gros que celui d’Adolphe Sax qui naquit 40 ans jour pour jour après John-Philippe.

Veuillez lais­ser l’endroit aussi propre que vous l’avez trouvé
Cette année à l’occasion de la jour­née de la pré­ser­va­tion de l’environnement en temps de guerre, les Nations-Unies lancent une grande cam­pagne des­ti­née à sen­si­bi­li­ser les corps d’armée à effec­tuer le tri des déchets même pen­dant les conflits. Les restes humains peuvent par exemple être mis dans les pou­belles orga­niques avec les éplu­chures de pomme de terre. Seule­ment s’ils n’ont pas brûlé, car c’est pas bon pour le compost.

Mon­sieur le pré­sident écrit une lettre
Le 6 novembre 1994, est ren­due publique une lettre de Ronald Rea­gan où il révèle avoir la mala­die d’Alzheimer. Dans la même lettre, il en pro­fite pour envoyer ses ami­tiés à Léo­nid Brejnev.

Iran­gate
Il y a exac­te­ment 7 ans, un avion de la com­pa­gnie Iraqi Air­lines se posait à Téhé­ran depuis 25 ans. Pour­tant ce n’est pas faute d’avoir essayé, mais la DCA ira­nienne a fini par décou­ra­ger les passagers.

Love­boat : la croi­sière s’amuse
C’est aujourd’hui l’anniversaire de Noé qui est né le 6 novembre –2948. Il se ren­dit célèbre en construi­sant le pre­mier paque­bot de l’histoire, où il embar­qua comme cha­cun le sait un couple de chaque espèce afin de les pré­ser­ver du déluge.

Fausse joie
Lorsque le 6 novembre 1984, les jour­naux déclarent que Mr That­cher écope d’une peine de pri­son à vie pour le meurtre de son ex-épouse, un fris­son de joie par­court l’Europe. Lorsque l’on apprend que cela se passe au Canada et que la vic­time s’appelle JoAnn la joie retombe aussitôt.

Faux Mon­tand
Il y a exac­te­ment 15 ans on appre­nait qu’Yves Mon­tand por­tait de fausses dents, ce qui ne per­mit pas de conclure qu’Aurore Dros­sard était bien sa fille, mais qui lui a per­mis de racon­ter sérieu­se­ment beau­coup de conne­ries les der­nières années de sa vie.

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