Anniversaires du 20 janvier

Notes de frais
La Casa de Contra­ta­ción fut crée le 19 jan­vier 1503 afin de contrô­ler la colo­ni­sa­ción espa­gnole. Le but affi­chée était de mieux contrô­ler chaque expe­di­ción de Chris­tophe Colomb qui mul­ti­pliait les voyages sans jamais avoir avoué la perte de ses clefs.

Sans inté­rêt
Le 20 jan­vier 1887 la Nouvelle-Zélande est fière d’annoncer qu’elle vient d’annexer les Îles Ker­man­dec, alors inha­bi­tée. Jusqu’à aujourd’hui, on a seule­ment réussi un petit éle­vage de fonctionnaires.  .

Plon­geurs por­tant les cou­leurs du pot de mar­mite en train d’empoisonner le pauvre animal.

Per­fide intoxi­ca­tion
Il y a sept ans jour pour jour on obser­vait une baleine dans les eaux de la Tamise à Londres. Les badauds se ruèrent  pour voir le cétacé. Cer­tains prirent l’initiative de la nour­rir, notam­ment en ver­sant du mar­mite. Le pauvre ani­mal mou­rut dans d’horribles convulsions.

Pré­ci­sion
On appre­nait il y a six ans, un 63ème mort en Indo­né­sie et un 11ème en Égypte de la grippe aviaire. L’OMS fit un second com­mu­ni­qué dans la jour­née pour pré­ci­ser qu’il s’agissait bien d’humains et non de poulets.

Ampère pas du tout dés­œu­vré
Le 20 jan­vier 1775, nais­sait André-Marie Ampère phy­si­cien qui allait son nom à l’unité de mesure du cou­rant élec­trique. Sa soif de connais­sance, fut for­te­ment encou­ra­gée par le père d’Ampère qui le mit au cou­rant du latin. 

Honte de la pro­fes­sion
On fête aujourd’hui la Saint-Asclas, mar­tyr qui périt noyé après qu’il fut plongé dans le Nil. Il coula à pic, ne per­met­tant de lui admi­nis­trer quelques tor­tures et ne fit même pas un petit miracle.  La honte de la profession.

1 commentaire

  1. benedictus
    Publié le 21 janvier 2010 à 0 h 37 min | Permalien

    Merci pptd !
    L’arrivée des Espa­gnols en Amé­rique, et leur com­por­te­ment ulté­rieur, qui consista à mas­sa­crer tout le monde ni pour des ques­tions reli­gieuses, ni pour en faire des esclaves, mais seule­ment pour piller les richesses, est sou­vent consi­dé­rée comme la nais­sance du capi­ta­lisme.
    Je suis ravi d’apprendre, grâce à toi, qu’à peine 11 ans plus tard, autant dire immé­dia­te­ment, était déjà créée une agence de bureau­crates payés pour sur­veiller les dépenses publiques. J’imagine les débats de l’époque, fus­ti­geant la mau­vaise ges­tion de la colo­ni­sa­tion et four­millant de remarques de bon sens du genre «no se puede gas­tar mas que se gana».
    Je sug­gère que la com­mis­sion euro­péenne fasse de ce jour un jour férié euro­péen pour célé­brer sa glo­rieuse ancêtre.

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