Anniversaires du 16 août

Le grand Blond
Pierre Richard Mau­rice Charles Léo­pold Defays ne lit cer­tai­ne­ment pas ces lignes. Mais ça ne nous empêche pas de lui sou­hai­ter un bon anni­ver­saire quand même.

Wotan pour moi
Il y a rigou­reu­se­ment 132 ans, soit une semaine avant la Saint-Siegfried, Wag­ner créait l’Opéra Sieg­fried, dont il n’est pas inutile de rap­pe­ler ici briè­ve­ment l’histoire.

L’histoire met en scène Sieg­fried, fils de Sieg­mund et Sie­glinde et frêre de Sie­ghard, sa maî­tresse la grosse et joyeuse  Brün­hilde, sur­no­mée l’ovale qui rit, le nain Fime, for­ge­ron de son état, Wotan le dieu borgne et fina­le­ment la déesse-mère Erda, connue aussi comme l’Erda-mère.

En gros, l’histoire raconte com­ment le nain Fime cherche à recons­truire Nothung l’épée enchan­tée bri­sée par la lance de Wotan, his­toire de deve­nir le maître du monde. Il reçoit la visite de Sieg­fried qui cherche aussi à s’emparer Nothung, car l’épée connue aussi sous le nom de Coupe-Sieghard, ser­vit à déca­pi­ter son frère bien-aimé.

Sieg­fried finit par occire le dra­gon Faf­ner et appre­nant que c’est le nain Fime qui a tué son frère lui fait subir le même sort.

A la fin Wotan, ayant été congé­dié par l’Erda-mère qui ne sup­porte plus ses états d’âmes affronte Sieg­fried his­toire de tuer le temps. C’est Sieg­fried qui l’emporte. Dégoûté, Wotan, emporté par le vent, disparait.

Quand on connait un mini­mum la mytho­lo­gie nor­dique, on se désole des liber­tés qu’a pris Wag­ner avec celle-ci.

 

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