Encore un bilan à la con ?
C’est avec un enthousiasme dans les talons que j’entame cette cinquième année. Mais ayant pris l’habitude d’avoir cette tradition, et plutôt que de faire un bilan en début d’année au milieu de tous les autres bilans, je préfère toujours faire le mien au moment où tout le monde part en vacances avec peu de chances d’avoir internet à disposition.
Un peu quand même
Alors où en suis-je de ce putain de blog ? Histoire de masquer le manque d’inspiration consécutif au manque de désœuvrement qui en devient inquiétant, j’ai changé la plateforme technique sur laquelle opérait ce blog. Ceci m’a permis de passer plusieurs journée à corriger les erreurs techniques rencontrées lors du changement. J’ai eu aussi la surprise d’apprendre que j’avais quelques lecteurs silencieux mais néanmoins fidèles, ça compense ceux que j’ai perdu à force de me répéter.
Mais bon, tout n’est pas à jeter
Mise à part , cette mise à jour technique qui m’a permis d’adapter la présentation graphique de mon site qui m’a été soufflée par les mis du Bulletin de l’Insondable, cette année bissextile m’a obligé de travailler sur un jour supplémentaire, complétant une fois pour toute la partie éphémérides avec 366 jours. Les auteurs (je suppose) du bulletin de l’insondable ont aussi lancé un éphéméride baptisé Microphéméride sur lequel je me fais plaisir de recycler certaines de mes bêtises.
De l’art du pompage
J’ai aussi tenté me lancer de varier un peu les plaisirs en me lançant dans des «micro-nouvelles» une nouvelle expérience inspirée par les amis du bulletin de l’insondable, Olivier Gechter dont les micro-nouvelles m’ont incité à démarrer celles du Cavalier Sans Cul et plus tard les révélation fracassantes de la SMCF (Société des Médiums-Chiromanciens Français) qui est en contact avec Einstein.
Et la procrastination dans tout ça ?
Et tout ça ne m’a pas permis d’avancer sur le journal de Noé qui est pourtant prêt mais pour lequel j’ai décidé de me (re)lancer dans le dessin. J’ai définitivement renoncé à écrire mes billet chiants censés démonter la dialectique de Zemmour et le manque de talent patent de Naulleau, ce qui est plutôt une bonne nouvelle. Par contre je n’ai toujours pas renoncé à écrire une biographie de Jean Quatremer dont la mauvaise foi arrivent toujours à m’énerver. À chaque fois que je me penche sur l’ouvrage, je me retrouve au milue d’une heure à me demander ce que je fous là (Libération devrait se demander ce que J4M fout à Bruxelles). Mais ce n’est pas tout, je suis tout aussi en retard sur la biographie la mère de Jésus et d’un certain nombre de saints.
Au final, c’est quand même un peu chiant les bilans.
1 commentaire
et oui, même si tout le monde est parti en vacances et les bilans sont desfois chiants, c’est avec impatience que j’attends le journal de Noé et ses sans doutes dessins marrants. Alors qu’est ce que tu fous encore là!
En attendant avec impatience, je reste une de vos lecteurs persévérants