9 juin 2013
Charles Dickens au comble de la révolte face à la misère.
Une bonne nouvelle
Le XIXéme siècle est celui de la révolution industrielle qui s’accompagna de la misère et de l’exploitation d’une large partie de la population. C’est la dénonciation de cette misère qui permit à Charles Dickens de mourir riche et célèbre le 9 juin 1870.
Une bonne et deux mauvaises nouvelles
Le 9 juin 1537 le pape Paul III créé l’embarras en déclarant que les Indiens d’Amériques sont des hommes comme tout le monde, interdisant du coup leur mise en esclavage. Ce qui aurait pu être une bonne nouvelle pour eux a signé leur arrêt de mort, puisque du coup, les colons successifs décidèrent de les exterminer afin de faire de la place pour les esclaves d’Afrique.
Mais il est où son kiki ?
Aujourd’hui Donald Duck fête ses 78 ans. Il a pas pris une ride, porte toujours la même redingote et n’a toujours pas de quéquette.
Et je tuerais, mon père, ma mère, mes frère et mes soeurs.…
Néron détestait tellement sa famille, qu’après avoir commandité la mort de presque tous les membres de sa famille, il ordonna son propre assassinat le 9 juin 68.
Prime à la casse
On fête aujourd’hui le martyr de Prime qui subit tellement de tortures qu’il était tout cassé au moment d’expirer.
8 juin 2013
En ces temps de grande incertitudes sociales où la rébellion couve un peu partout, y compris chez les socialistes, c’est dire, qu’il me soit permis de retracer (brièvement quand même, j’ai pas que ça à foutre non plus) la vie du grand rebelle que fut Charles Dickens.
Car à l’instar de Victor Hugo, Emile Zola, le Sous-Commandant Marcos ou Michel Sardou, Charles Dickens fut lui aussi un grand révolté.
Dès sa naissance Charles avant même d’avoir son nom, se révolta en hurlant son indignation d’être ainsi arraché à la douceur et le chaleur amniotique du ventre de sa mère.
Peu après il se révolta lorsqu’on l’arracha au sein maternel pour lui donner des biberons. Sa force de caractère le conduisit à se révoleter de façon quasi-permanente contre la soupe qu’on tentait de lui faire avaler.
Ce n’est qu’une fois l’âge adulte atteint qu’il se commença à publier des romans révoltés à caractère social, qui à defaut de changer la situation sociale des pauvres, finit par lui assurer un confortable revenu.
Une fois devenu riche il s’évertua à disséminer sa révolte au travers de lectures publiques. Il alla même jusqu’à apprendre à sa femme de ménage les fondements de la révolte en lui défonçant le fondement justement.
Riche et repu il tente de se révolter contre la mort le 9 juin 1870. En vain.
P.S.: pas la peine de vous révolter, je vous avait bien dit que je serais court.