Anniversaires du 15 juillet

Ian Cur­tis fou de joie.

Dans la joie jusqu’au cou
Le 15 juillet 1956 nais­sait Ian Cur­tis, chan­teur mono­tone du groupe Joy. Pourvu d’une unique corde vocale il a cru pen­dant des années qu’il chan­tait. Malade, il vécu long­temps prin­ci­pa­le­ment sous l’influence de bar­bi­tu­riques. Lors d’une ten­ta­tive de sevrage, il écoute par hasard une de ses chan­sons à la radio, dégoûté il se donne la mort ce 18 mai 1980. On regrette un tel manque de luci­dité chez Pas­cal Obispo.

Accou­che­ment dif­fi­cile
Il y a exac­te­ment 913 ans, jour pour jour, Jéru­sa­lem tom­bait aux mains des croi­sés se pré­sen­tant par le siège don­nant nais­sance au Royaume latin de Jéru­sa­lem. Accou­che­ment dif­fi­cile puisque le mas­sacre fut tel qu’un chro­ni­queur rap­porta «la bou­che­rie était telle que les hommes patau­geaient dans le sang jusqu’aux che­villes». Ce à quoi le grand rab­bin aurait répondu «Moi du moment que c’est kasher, j’en ai rien à secouer…«

Ça va mieux en le disant
Il y a exac­te­ment 44 ans, dans l’indifférence géné­rale était publié l’Arrêté du 15 juillet 1968 rela­tif aux condi­tions d’agrément pour les contrôles régle­men­taires pré­vus dans les immeubles de grande hauteur.

Réchauf­fe­ment cli­ma­tique
Le 15 juillet 2007, le Bri­tan­nique Lewis Gor­don Pugh nage durant un kilo­mètre dans les eaux gelées de la ban­quise. Cet exploit est des­tiné à sen­si­bi­li­ser le public sur le réchauf­fe­ment cli­ma­tique sans lequel les eaux ne seraient pas acces­sibles dans l’Arctique. C’est bien gen­til, mais pis­ser dans l’eau comme il le fit pour se réchauf­fer n’arrange pas les choses.

Un trou, un bon coup
L’américaine Myrtle Williams devient à 88 ans le 15 juillet 1993 la joueuse de golf la plus âgée à réus­sir en un coup un trou d’un par­cours de  golf. Elle décla­rera : J’espère que mon mari com­pren­dra qu’à notre âge, c’est encore pos­sible de la mettre du pre­mier coup au fond du trou.

On a failli oublier
Le 15 juillet 2008, parais­sait  le pre­mier billet du père dés­œu­vré. Il n’imaginait pas que quatre ans plus tard, non seule­ment il ne serait plus du tout dés­œu­vré mais qu’il serait encore en train de s’atteler à la tâche, alors que le nombre de ses lec­teurs régu­lier n’atteint pas la dizaine.Il y a trois ans c’était l’heure du bilan ? De même qu’il y a deux ans jusqu’à l’année der­nière ? Et même aujourd’hui tant qu’on y est.

Sainte Etheldrede

La Grande-Bretagne à l’époque ridi­cule de l’Heptarchie.

Un peu d’histoire

Sainte Ethel­drede nous offre l’opportunité de nous pen­cher sur une période peu glo­rieuse de l’histoire de ces per­fides Anglais. Qu’elle en soit remer­cié rien que pour ça.

À cette époque l’Angleterre était com­po­sée de 7 royaumes.  Ces sept royaumes étaient le Wes­sex, l’Essex, le Sus­sex, le Kent, la Nor­thum­brie et la Mer­cie, ça va bien et vous ?

Cette période est peu rela­tée par les per­fides his­to­riens de la per­fide Albion car elle est fina­le­ment peu glorieuse :

  • elle rap­pelle l’invasion de l’île par les Germains
  • on ne dénombre  aucune guerre avec le royaume des Francs
  • les habi­tants de la Mer­cie (où se trouve main­te­nant Londres) étaient la risée des autres car il n’y  rien de plus ridi­cule pour un Angle que de se trou­ver au milieu.
  • le Sus­sex était si petit, qu’on l’appelait le petit Sussex
  • Les Angles n’avaient aucun ter­ri­toire à l’ouest (à gauche sur la carte) indi­quant que déjà à l’époque il n’y avait pas d’Angles de gauche et pleins d’Angles de droite.
  • les Jutes, habi­tants du Kent avaient une atti­tude par­ti­cu­liè­re­ment domi­nante sur ses voi­sins de l’Essex. On raconte même qu’il étaient pen­chés sur l’Essex.

En gros,  l’histoire de cette Hep­tar­chie est tel­le­ment ridi­cule que les per­fides his­to­riens anglais si habiles à maquiller l’histoire pré­fèrent tout sim­ple­ment ne pas le mentionner.

Sus­sex n’est pas trom­pex (pro­verbe angle)

C’est donc lors de cette période que vécut celle qui fut Reine par deux fois tout en res­tant vierge contrai­re­ment à sa soeur qui se maria avec le roi des Jutes et dut subir ses outrages. Mais c’est une autre histoire.

S’il nous ne nous est pas per­mis de dou­ter de la vir­gi­nité d’Etheldrede, scel­lant son mariage au Christ, nous pou­vons faci­le­ment sup­po­ser, l’époque tel­le­ment est tel­le­ment recu­lée et les fait invé­ri­fiables que nous aurions tort de nous en pri­ver, qu’elle se livrait à cer­taines pra­tiques que la morale réprouve quand même un peu.

Gorge pro­fonde

Même si je recon­nais que cette affir­ma­tion est en grande par­tie gra­tuite elles ne sont pas dénués de fon­de­ment. En effet, depuis sa cano­ni­sa­tion,  Sainte Ethel­drede est invo­quée pour les maux de gorge, car elle souf­frait soit-disant  d’une tumeur à la gorge qui l’indisposait. Or, après sa mort, cer­tains fidèles adeptes de Saint-Thomas, se prirent d’aller véri­fier et on ne vit aucune trace de la tumeur. Bien embê­tés, et his­toire de ne pas ter­mi­ner sur le bûcher, il firent cir­cu­ler la légende selon laquelle  qu’elle en fut gué­rie au moment de sa mort.

Mais on me la fait pas à moi.

Mondanités

Le Cava­lier Sans Cul est peu friand des soi­rées mon­daines. En effet lorsque que tard dans la soi­rée, la bois­son aidant, il n’est pas rare que cer­tains convives se lancent à pous­ser la chan­son­nette. Géné­ra­le­ment, c’est au moment où le prince Albert II de Monaco entonne la grosse bite à Dudule que le Cava­lier Sans Cul  part en cla­quant la porte.

Trou noir de la pensée

Compte–rendu de la der­niere sceance de spi­ri­tisme à la SMCF (Société de Médiums-Chiromanciens Fran­çais si vous deman­diez ce que c’est).
– mon­sieur Ein­stein, pourriez–vous  nous décrire l’interieur d’un trou noir.
– c’est impos­sible, cela dépasse l’entendement humain, moi–même de mon vivant je n’aurais pu conce­voir cela. Demandez-moi quelque chose que je serais capable de vous expli­quer.
– dans ce cas, pourriez–vous nous expli­quer les choix élec­to­raux de Michel Onfray ?
– les trous noir vous disiez ?

Caractère

Bien que très sus­cep­tible, le Cava­lier Sans Cul n’aime pas pour autant les obsé­quieux. Les lèche-culs le révulsent.

Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit

Rien de tel qu’une bonne pipe après le repas.

Aujourd’hui la SMCF (Société des Médiums-Chiromanciens Fran­çais) nous a fait par­ve­nir un com­mu­ni­qué d’Einstein. « J’apprécierais que mes cita­tions ne soient pas tron­quées. Lorsque je j’avais dit « Une chaise, une table, une cor­beille de fruits et un vio­lon. Que faut-il de plus à un homme pour être heu­reux ? »  j’avais ajouté : « Une bonne petite  pipe, pardi ! » » 

Dieu ne joue pas au dès avec le Cosmos

La SMCF (Société des Médiums-Chiromanciens Fran­çais) a inter­rogé aujourd’hui Ein­stein sur la plus célèbre de ces cita­tions. «Non Seule­ment, je vous confirme que Dieu ne joue pas aux dés avec le cos­mos, mais qu’en plus c’est tant mieux parce qu’il est pas doué. Il n’a jamais été capable de me battre  au 421.»

Vas-y Franky !

Il n’est pas un bio­graphe d’Einstein qui ne plaide pour sa modes­tie, sa sim­pli­cité.  Pour­tant il pou­vait se mon­trer vani­teux comme lorsqu’il écri­vit sa fameuse lettre à Roo­se­velt et qu’il l’envoya aux jour­naux juste pour faire son inté­res­sant (d’autres mau­vaises langues pré­tendent que c’est par ava­rice). On a d’ailleurs retrouvé une seconde lettre dans ses archives, dont Ein­stein ne s’est pas trop vanté.
Mon Franky
Merci pour la caisse de bou­teilles de whisky. Ce 30 ans d’âge, c’est de la bombe !
Bises
Ton Alby

Relativement peu connu

Depuis qu’ils ont réussi  a com­mu­ni­quer avec Ein­stein, les membres de la SMCF (Société des Medium-Chiromanciens Fran­çais) se retrouvent sub­mer­gés pas les demandes en tout genre.

Aujourd’hui, par exemple, la ques­tion sui­vante fut posée : «Pensez–vous que le com­mu­nau­ta­risme va de concert avec avec la pro­li­fé­ra­tion de l’antisémitisme comme le laisse sous–entendre Alain Fin­kiel­kraut.»

La réponse ne s’est pas faite attendre : «Qui ça ?»

Et la lumière fuit

Aujourd’hui la SMCF (Société des Médiums-Chiromanciens Fran­çais pour ceux qui auraient oublié)  a trans­mis à Ein­stein une ques­tion envoyée par des scien­ti­fiques du CERN. «De récentes expé­riences sont menés afin de savoir si cer­taines par­ti­cules pour­raient dépas­ser la vitesse de la lumière.» L’esprit du grand Ein­stein a immé­dia­te­ment répondu : «Vous per­dez votre temps les gars. Rien ne peut dépas­ser la vitesse de la lumière. À part, Chuck Nor­ris, peut-être.»